Développement personnel

Olivier Bourdeaut

À propos du livre

« J’ai la chance de gagner ma vie en racontant des histoires. Du moins jusqu’à présent. Car j’ai un problème, un problème de taille : je n’ai plus d’imagination. Je ne comprends pas ­pourquoi, je ne sais pas comment cela est arrivé mais j’ai beau froncer les sourcils, serrer mes petits poings, rien ne vient. Alors j’ai décidé de parler de moi.
Selon des chercheurs de Harvard, nous passerions soixante pour cent de notre temps à parler de nous. Parler de soi stimulerait les mêmes zones du cerveau que la cocaïne, le sexe ou un bon plat. Et si Harvard dit que ça fait du bien, je n’ai aucune raison d’en douter. Après tout, Mark Zuckerberg en est diplômé et il a toujours su, mieux que tout le monde, ce qui est bon pour l’humanité… »

Avec une franchise pleine d’autodérision, Olivier Bourdeaut revient sur son enfance compliquée, sa courte et chaotique scolarité et le périlleux apprentissage du métier d’écrivain. L’auteur d’En attendant Bojangles se dévoile, et sa vulnéra­bilité nous touche.

 

Finaliste Prix Alexandre Vialatte

 

Presse

Développement personnel est plein d’autodérision et d’humour, très touchant. C’est très beau.
Nicolas Carreau, Europe 1.

Un petit bonheur de lecture.
Frédéric Pommier, France Inter.

Un récit hilarant qui comporte aussi quelques conseils d’écriture originaux.
Simon Bentolila, Lire Magazine littéraire.

Un autoportrait lucide et sensible.
Virginie François, Le Monde.

Il y a du Nourissier dans cette détestation de soi, mais aussi du Jerome K. Jerome dans la manière, burlesque, de faire sourire à ses dépens et de glisser de l’absurde dans le désarroi.
Jérôme Garcin, L’Obs.

Un autoportrait aussi hilarant qu’émouvant.
Alice Develey, Le Figaro.

Olivier Bourdeaut est un virtuose de l’autodérision. Le récit de ses ratages frôle le génie.
Bernard Lehut, RTL.

On est souvent très ému mais on rit aussi beaucoup dans ce récit qui se dévore comme une fiction.
Sandrine Bajos, Le Parisien.

Un real good book !
Sandrine Mariette, ELLE.

Olivier Bourdeaut révèle ses faiblesses et ses ratages. Tout est grinçant, follement drôle. Il a peut-être écrit là son meilleur livre.
Olivier Mony, Livres Hebdo.

Un texte hautement réjouissant qui ne manquera pas de surprendre, d’amuser, de toucher.
Alexandre Fillon, Sud Ouest.

Un autoportrait drôle et sans concession, un livre qui se laisse dévorer avec enthousiasme.
Céline O’Clin, Qwertz (RTS).

Un récit drôle et tendre qui nous émeut.
Philippe Manche, Le Vif.

Olivier Bourdeaut surprend autant qu’il séduit dans cette drôle d’autobiographie attendrissante.
Héloïse Rocca, Version Femina.

Tendre, absurde, grinçant.
Gala.

À travers son hilarante confession en mode jeu de massacre, Olivier Bourdeaut fait de a vie un roman.
Thierry Boillot, L’Alsace.

Voici la preuve qu’Olivier Bourdeaut a le sens britannique de l’autodérision et qu’il est capable, après avoir beaucoup triché, de sincérité. Rappelons que la sincérité est un art, aussi.
Jérôme Garcin, La Provence.

Il y a dans Développement personnel une certaine poésie du ratage.
Isabelle Chenu, RFI.

Un récit autobiographique d’une belle sincérité, d’une écriture maîtrisée, sensible et drôle, qui ose coucher noir sur blanc ce que beaucoup préfèrent garder secrètement en eux.
Laurence Bertels, La Libre Belgique.

Un message d’espoir à tous les ratés.
Matthieu Marin, Ouest France.

Très drôle, sans fioriture. Cash.
Martin Boujol, RTS. 

Un texte aussi honnête que drôle.
Élise Comte, Télé Loisirs. 

Une leçon d’optimisme.
Voici. 

Un savoureux récit dans lequel Olivier Bourdeaut se raconte. Sympa et souvent drôle.
Karine Vilder, Le Journal du Québec.

Un voyage dans la mémoire, entre franchise et autodérision.
Laila Maalouf, La Presse + (Québec).

Une bonne dose d’ironie.
Jimmy Boursicot, Var Matin. 

Pas de doute, cet anti-manuel de Développement personnel est une petite merveille.
Isabelle Raepsaet, La Voix du Nord. 

Un livre plein d’autodérision.
Sophie Trébern, Presse Océan. 

Les libraires

J’ai adoré Développement personnel. J’ai découvert comment une larve devient chenille puis papillon de nuit, attiré par la lumière et les spotlight au point parfois de se brûler les ailes et de perdre le génie créatif. C’est avec un immense humour, une autodérision à son paroxysme et une honnêteté sans faille qu’Olivier Bourdeaut se livre à nous sans détour. 
Jérôme, Librairie Entrée livres, Verdun.

Déboires et malheurs d’un auteur en mal d’inspiration et de succès ! Olivier Bourdeaut se dévoile et nous surprend. Drôle et réussi !
Simon, Librairie Atout Livre, Paris.

Lorsqu’un auteur se prend comme sujet de son propre livre, ça peut être intéressant, ennuyant ou génial. Ici, c’est délicieusement drôle, cyniquement drôle même. De l’enfance à l’adolescence, en passant par les débuts de l’âge adulte, l’auteur se met à nu au travers d’anecdotes piquantes. Développement personnel est un récit qui ne prône ni ne défend rien, mais présente juste un homme tel qu’il est, et c’est bien.
Maggy, Librairie Mots et merveilles, Saint-Omer.

Olivier Bourdeaut se met à nu dans son nouvel ouvrage. Un autoportrait plein d’autodérision, grinçant et touchant à la fois.
Chloë, Librairie Clareton des Sources, Béziers.

Olivier Bourdeaut signe un roman aussi sincère que touchant avec en prime un humour décapant et une autodérision à toute épreuve. Un véritable coup de coeur !
Juliette, Librairie de Paris, Paris.

Olivier Bourdeaut ressemble à ses personnages : il est touchant, fantasque, sensible… Il nous raconte des histoires et c’est encore un plaisir de lecture ! 
Ellen, Librairie Auréole, Auray.

Nous retrouvons Olivier Bourdeaut avec un roman beaucoup plus personnel, d’une franchise désarmante et d’un humour irrésistible ! Un anti-héros très décomplexant et rafraîchissant. 
Lucille, Fnac de Bordeaux.

Olivier Bourdeaut nous raconte sa jeunesse difficile et ses premiers pas chancelants en littérature. Son grand talent lui permet d’aborder avec légèreté des moments douloureux, pour notre plus grand plaisir. Délectable.
Librairie La Carline, Forcalquier.

En panne d’inspiration, Olivier Bourdeaut décide d’être le sujet de son nouveau roman. S’il nous raconte ses déboires et ses aventures avec énormément d’humour, on ressent malgré tout une douleur à être différent. Douleur ressentie aussi, et surtout, par son entourage. Mais le côté tragicomique est assez irrésistible !
Valérie, Librairie Ravy, Quimper.

C’est drôle, touchant et on apprécie tout particulièrement l’autodérision présente dans ce récit très intime.
Librairie L’établi des mots, Rennes.

Olivier Bourdeaut devient le personnage de son propre roman. Un livre qui fait du bien : on peut rater sa scolarité, être en panne d’inspiration une fois devenu écrivain populaire, et réussir le pari de nous faire rire avec un livre centré sur soi ! Quelle autodérision, quel sens de la formule ! Un moment de lecture bien agréable.
Librairie Les mots du zèbre, Eysines.

Dans ce roman, Olivier Bourdeaut nous dévoile ses années d’apprentissage du métier d’écrivain. Aimer la langue, les mots – vous les notez précieusement dans un carnet – et pratiquer la lecture à marche forcée sont, selon vous, le B-A-BA du travail. Votre chance, avoir eu des parents pénibles, des professeurs pires encore, tous ennuyeux sans exception, puis être entouré d’amis crédules gobant vos mensonges avant de faire la fine bouche en retour. Cet entourage de fâcheux, de rabat-joie est pourtant votre moteur : ils vous écoutent, parfois même s’intéressent à vous, et malgré eux, vous donnent la force de persévérer … C’est votre secret; toujours y croire sans jamais se prendre au sérieux. Voilà le Grand Art !
Olivier, Librairie Fontaine Sèvres, Paris.

De souvenirs heureux en échecs aussi cuisants qu’hilarants, Olivier Bourdeaut retrace la trajectoire fort peu linéaire d’un petit cancre nantais qui a toujours eu la curieuse idée de vouloir écrire.
Librairie L’Alinéa, Martigue.

Après le succès d’En attendant Bojangles et l’étonnant Florida, l’auteur réussit à trouver comme sujet original et différent sa propre personne. On découvre un écrivain à l’enfance chaotique, au parcours professionnel désastreux, mais avec une envie d’écrire qui ne le quittera jamais. Un roman plein d’autodérision.
Sophie, FNAC Saint-Lazare, Paris.

Un roman drôle, touchant dans lequel Olivier Bourdeaut se met en scène sans complaisance.
Caroline, Librairie Fontaine Auteuil, Paris.

Olivier Bourdeaut nous livre un récit/roman extrêmement personnel et touchant. Il revient sur son parcours scolaire tortueux, son envie de paresse, son désir d’écriture qui mène au succès. Mais que se passe-t-il quand l’imagination accouche d’une page blanche ? Cela pourrait donner Développement personnel.
Stéphanie, Librairie Les Lucettes, Saint-Luce-sur-Loire.

Un autoportrait honnête et sans censure. C’est drôle, touchant et l’on apprécie l’autodérision présente tout au long de ce texte.
Librairie À plus d’un titre, Honfleur.

2024

13,5 x 20 cm

176 pages

isbn 978-2-36339-205-3

18 euros