Traversée en eau claire dans une piscine peinte en noir
À propos du livre
Devant l’objectif des plus grands photographes, des plus grands cinéastes, elle excellait à être simplement Cookie. L’inoubliable, la touchante Cookie Mueller, égérie de l’avant-garde new-yorkaise des années 70 et 80.
Lors de soirées devenues mémorables, elle exerçait ses fabuleux talents de conteuse. Tous se délectaient de ses aventures extraordinaires, de ses souvenirs de l’époque où elle était la bad girl du lycée jusqu’à ses anecdotes de tournage avec John Waters, en passant par les épisodes sa vie californienne, lorsqu’elle côtoyait Janis Joplin ou un certain Jim Morrison.
Et quand un jour, elle s’est enfin décidée à mettre tout ça par écrit, on s’est aperçu qu’un écrivain était né. Quel style, quel naturel, quelle verve, quelle fantaisie !
Lire Cookie Mueller aujourd’hui, c’est retrouver l’insouciance, goûter la liberté, tâter de la sauvagerie, risquer la tendresse. Elle écrit « cash », comme elle a vécu.
On aurait tant aimé la connaître.
Récit / 2017 / 17€ / 192 pages / 13,5 x 20 cm / 978-2-36339-077-6
La presse en parle …
Héléna Villovitch, Elle.
À lire Cookie Mueller, grande brûlée du rêve américain, on a l’impression d’écouter du Janis Joplin: rauque, défoncée, poétique.
Gérard Lefort, Les Inrockuptibles.
La vie de Cookie Mueller ressemble à un long road movie déjanté.
Phillipe Blanchet, Rolling Stone.
Ces mémoires, écrites avec un talent de conteuse indéniable, façon Tante Cookie sous LSD, semblent excavées d’une époque révolue, foutraque et subversive.
Johanna Luyssen, Libération.
L’écriture délurée de Cookie Mueller remplit la vie d’oxygène.
Christine Ferniot, Télérama.
Cookie Mueller, c’est une Patti Smith qui ne ferait jamais la gueule. Elle raconte ses souvenirs dans un livre qui brille très fort.
Didier Jacob, L’Obs.
Ce livre porte un titre génial qui est une définition possible de la vie de Cookie: une série d’emmerdes, d’histoires à dormir debout qui devraient vous démolir mais qui, bien racontées, deviennent des leçons de vie. […] Elle fut un grand écrivain américain, ce pays où la littérature est un ring et où il faut savoir s’y battre.
Philippe Azoury, Grazia.
Une plume à la vivacité sans cesse réjouissante. Avec elle, promis, pas le temps de s’ennuyer !
Alexandre Fillon, Lire.
Un recueil qui nous plonge dans le «cœur nucléaire» de ce que fut la contre-culture américaine, de Jim Morrison à Nan Goldin en passant par John Waters, à l’heure où le sida s’apprête à tirer le rideau pour tout le monde. Cookie Mueller écrit comme on se fait une ligne, sur un coin de table et dans l’urgence. Déjà culte.
Olivier Mony, Livres Hebdo.
L’égérie underground se raconte dans des anecdotes épiques.
Élisabeth Philippe, Vanity Fair.
Pour paraphraser Nan Goldin, Cookie est LA diva, la superstar autour de laquelle toute une famille gravite : les peintres Jean-Michel Basquiat et Keith Haring, les Ramones, Klaus Nomi, Patti Smith, Blondie, Sonic Youth, le photographe Robert Mapplethorpe, et bien sûr Nan Goldin. […] Ce recueil de textes fait figure de livre culte aux États-Unis.
Ira Benfatto, Jalouse.
Une liberté et une insouciance qui sont la marque d’une époque révolue. […] À côté, Courtney Love, c’était rien.
Juliette Goudot, RTBF.
L’une des figures parmi les plus influentes et méconnues de la culture américaine de la fin du XXe siècle.
The New York Times.