Les vérités parallèles
À propos du livre
La vie d’Arnaud Daguerre est parfaite.
Le petit garçon modèle – quoiqu’un peu lunaire – est devenu un mari irréprochable – quoiqu’un peu distrait –, puis un papa attentionné – quoiqu’un peu absent.
Et surtout, Arnaud a accompli son rêve d’enfant : il est aujourd’hui Grand Reporter au Miroir, le célèbre hebdomadaire. Ses reportages sont admirés, célébrés même, puisque récompensés par la distinction suprême, le prestigieux prix Albert Londres.
Pourtant Arnaud vit un enfer quotidien. Sa timidité, son manque d’assurance le paralysent face à tous ces gens qu’il doit contacter, rencontrer, interviewer pour faire son métier.
Alors Arnaud est tenté d’ouvrir la boîte de Pandore : faire appel à son imagination. Si quelques arrangements avec la vérité permettent d’accrocher le lecteur et, accessoirement, de faire monter le tirage du journal, est-ce si grave ?
Roman / 2024 / 256 pages /20€ / 13,5 x 20cm / 978-2-36339-212-1
Prix littéraires
- Sélection Prix Georges Brassens
- Sélection Prix Talent Cultura
- Sélection Prix A livre ou verre
- Sélection Prix Micheline
- Sélection Prix du Poisson
- Sélection Prix des lecteurs du Grenier d’Abondance
La presse en parle …
Grâce à une écriture fluide, nerveuse, Marie Mangez s’empare d’un sujet ancré dans l’actualité et va plus loin en explorant l’aspect intime et familial d’un homme condamné par lui-même (et son cercle proche) à errer dans un univers parallèle. En attendant la délivrance. Les Vérités parallèles, une immersion dans la tête d’un imposteur.
Mohamed Berkani, France Info.
Une peinture satirique de la presse.
Bernard Quiriny, Trois couleurs.
Une écriture efficace, un récit vertigineux.
Loïc Simba, Marianne.
La plume est vive et truculente.
Fanny del Volta, Point de Vue.
Après le très troublant et réussi Parfum des cendres, Marie Mangez signe un livre plus ambitieux encore, plus romanesque.
Olivier Mony, Livres Hebdo.
Il faudrait parfois se méfier des histoires trop belles pour être vraies… Portrait d’un journaliste, sympathique imposteur, et d’une époque où l’image joue un rôle parfois trompeur.
Haude Giret, Sud Ouest.
C’est avec malice, humour et justesse que Marie Mangez explore les dérives de notre société saturée par l’information et les fake news.
Héloïse Goy-Rocca, Version Femina.
Un roman à la fois cocasse et dérangeant avec un (anti)héros qui vous embarque de la première à la dernière page.
Anne-Charlotte Pannier, La Voix du Nord.
Un roman brillant.
Thierry Boillot, L’Alsace.
A-t-on le droit de s’arranger avec la vérité, surtout lorsqu’on est journaliste ? En nous immergeant dans la tête de ce faussaire de l’information, Marie Mangez livre une réflexion pertinente et incisive sur le traitement de l’information. […] Un livre instructif sur les médias !
Les Notes.
Un sujet passionnant, une réflexion intéressante sur la frontière poreuse entre les faits et leur récit, le filtre de l’écriture, et la quête de la vérité, que l’on trouve parfois dans la fiction quand on la cherchait dans la réalité.
Aurore Engelen, Le Vif.
Au travers d’un personnage lisse et fascinant, ce roman interroge chacun sur son rapport au réel.
Daniel Fattore, La Liberté.
L’intérêt du roman de Marie Mangez, outre le fait qu’il explore toutes les zones grises d’un métier souvent décrié, c’est qu’on accompagne la paranoïa du héros, convaincu depuis ses débuts qu’on finira par le découvrir. Sur le fil du rasoir, ne parvenant pas à sortir du système dans lequel il s’est enfermé, on sait qu’il va tomber et on en a presque mal pour lui, tant le roman le rend attachant et pathétique à la fois.
Thierry Bellefroid, Sous couverture (RTBF).
Un portrait psychologique fin d’un faussaire sincère. Le livre se lit d’une traite, on est happé par l’attente de la chute inévitable.
Daniel Muraz, Le Courrier Picard.
Les libraires en parlent …
Touchant. Un imposteur qui nous donne envie de l’aimer, de le comprendre. Une histoire qui sonne juste, sans jamais tomber dans la caricature du vilain menteur. Un très bon roman !
Juliette, Librairie de Paris, Paris.
Un roman génial, contemporain et profond qui pose de vraies questions sur notre vision du monde, le sens de la vie et notre imagination. À lire !
Benjamin, Les mots et les choses, Boulogne-Billancourt.
Quand un rêve d’enfant se transforme en grande mystification. On tremble pour Arnaud Daguerre à chaque page. Mais entre les lignes, on s’interroge aussi sur le traitement de l’information. Éloquant à l’heure de l’avènement de l’intelligence artificielle. Un livre d’une modernité nécessaire.
Dominique, Masséna, Nice.
Depuis qu’il est gamin, Arnaud rêve de devenir reporter. Il intègre le journal le Miroir et commence à publier ses premiers articles… Ses reportages seront même récompensés par le Prix Albert Londres. Cependant le journaliste a bien des zones d’ombres… ses méthodes sont peu orthodoxes et son imagination fertile a tendance à déformer la réalité. Une plongée dans les coulisses de l’information et sur l’importance du bien-fondé.
Chloë, Clareton des Sources, Béziers
C’est tellement plus crédible quand c’est inventé ! Arnaud Daguerre préfère imaginer ses reportages plutôt que de les vivre, et on assiste à sa descente aux enfers. 250 pages dans la peau d’un imposteur en se demandant comment il va s’en sortir !
Librairie L’Instant, Paris.
Les Vérités parallèles est un texte poignant qui invite à réfléchir sur ce que le mensonge fait de nous. Le héros est très attachant, loin des salopards et anti-héros souvent stéréotypés quand on parle du mensonge. Marie Mangez maintient une vraie tension tout au long du livre et offre un vrai plaisir de lecture. original et percutant !
François, Passage culturel, Cholet.
À trop s’arranger avec la réalité, on finit par ne plus trop savoir où elle se situe ! Sous ses dehors légers, ce roman de l’imposture prend très vite un tour addictif et carrément flippant !
Kim, 47° Nord, Mulhouse.
Un texte aussi impossible à lâcher qu’un feuilleton de journal.
Clara, Comme un roman, Paris.
Arnaud est un grand reporter, très grand même, si bien qu’il obtient rapidement le prix Albert Londres. Mais notre héros a aussi tendance à faire quelques pas de côté avec la déontologie, au risque d’inventer témoins et situations… Comment vivre sans être démasqué ? À l’heure des fake news, voici un roman à l’humour grinçant qui pose la question de la fiabilité de l’information.
Fabienne, Le Vrai Lieu, Gradignan.
Un roman intelligent et drôle, presque parodique, qui en dit long autant sur les médias que sur notre capacité à arranger à notre goût les événements de notre propre vie.
Emeline, Attitude, Albi.
J’ai adoré. Gros coup de coeur !
Yohan, Folies d’encre, Le Raincy.
Héros pas comme les autres qui s’empare à sa manière de tout ce que l’on pense être la vérité, découvrez un Don Quichotte moderne à l’imagination bien exacerbée !
Caroline, La Librairie des Fables, Château-Thierry.
Marie Mangez nous interroge sur la question de l’imposture, à travers la figure d’un journaliste reconnu, à l’excellente plume mais incapable de mener un reportage sur le terrain. Entre suspense, compassion pour le protagoniste dépassé par la situation, et un humour acerbe sur la haute bourgeoise, ces Vérités parallèles se dévorent !
Hélène, L’Autre librairie, Angoulême.
Une grande réussite ! Arnaud Daguerre est un jeune reporter plein d’avenir, acclamé par ses lecteurs et ses pairs. Mais la déontologie n’est pas son fort. C’est vrai que parfois, il s’arrange un peu avec la vérité. Un peu, puis de plus en plus… Avec une narration puissante Marie Mangez nous fait revivre ces moments phares des années 2010 et interroge notre besoin collectif de fictions.
Maxime, Librairie Nouvelle & Cie, Bois-Colombes.
Arnaud est journaliste et n’aime pas le conflit. Pour réaliser ses articles, il invente et écrit ce que les lecteurs veulent lire. Mais vous vous doutez bien qu’un jour on découvrira la supercherie… Une histoire étonnante, inspirée de faits réels, un roman passionnant qui se dévore.
Isabelle, Les 3 Souhaits, Morteau.
Marie Mangez manie avec grâce l’humour et l’empathie, et on se régale.
Léa, L’Autre Rive Cartoucherie, Toulouse.
Une tension jusque dans les dernières pages de ce roman.
Clémence et Sacha, DLivre, Dinant (Belgique).
Coup de coeur magistral pour ce grand coup de bluff !
Juliette, Le Passeur, Bordeaux.