La vie fugitive mais réelle de Pierre Lombard, VRP
À propos du livre
Pierre Lombard a tout perdu : un poste prestigieux dans un grand groupe d’édition, sa femme, ses ambitions d’écrivain. Amer et désabusé, il accepte un poste de représentant en librairie pour de petits éditeurs.
Tournée après tournée, dans la solitude de sa voiture, il se nettoie des faux-semblants de sa vie antérieure et se reconstruit par la lecture.
Roman / 2020 / 224 pages / 17,50€ / 13,5 x 20cm / 978-2-36339-134-6
La presse en parle …
Jean-Claude Raspiengeas, Le Masque et la Plume (France Inter).
Nourrissant un formidable roman, les pérégrinations de ce VRP, qui écoute Billie Holiday et aime Balzac, Bernard Frank et Henri Calet, constituent aussi un document implacable.
Gilles Heuré, Télérama.
Avec une lucidité ironique, Christian Estèbe traite son sujet avec l’amour, presque incandescent, qu’il porte au livre.
Olivier Mony, Livres Hebdo.
C’est une sotie, triste et drôle à la fois, écrite avec une belle plume à l’ancienne, trempée dans l’encre de la mélancolie.
Jérôme Garcin, L’Obs.
L’occasion pour Christian Estèbe de parler d’un monde qu’il connaît bien, celui du livre.
Patrick Coulomb, La Provence.
Embarquez dans les longues tournées d’un représentant en livres. Début d’une rédemption.
Séverine Guillemet, Sud Ouest.
Le roman, plus que la chronique d’une vie de VRP, tient surtout du récit de rédemption.
Bernard Quiriny, L’Opinion.
Une reconstruction émancipatrice grâce à la compagnie des livres et de quelques êtres. Après tout, on peut tenir une vie entière avec ces ingrédients, pour peu que l’on sache les porter à incandescence. […] Christian Estèbe joue dans la cour des grands. Henri Calet, Raymond Queneau et Marc Bernard tiennent leur héritier.
Radio Aligre.
C’est caustique et assez moqueur. […] Quel personnage magnifique d’homme ordinaire qui a décidé un jour de dire non!
Bernard D’Epenoux, TéléZ.
Les libraires en parlent …
Philippe Touron, Librairie Le Divan, Paris.
Portrait d’un Dernier des Mohicans en colporteur des temps modernes, hymne aux livres, aux auteurs morts et à leurs honnêtes survivants, le nouveau roman de Christian Estèbe campe un personnage mélancolique, solitaire et décalé dont on aime la névrose et l’impossible quête.
Sébastien, Librairie des Halles, Niort.