Pactum salis
À propos du livre
Très improbable, cette amitié entre un paludier misanthrope, ex-Parisien installé près de Guérande, et un agent immobilier ambitieux, prêt à tout pour « réussir ». Le premier mène une vie quasi monacale, déconnecté avec bonheur de toute technologie, tandis que le second gare avec fierté sa Porsche devant les boîtes de nuit.
Liés à la fois par une promesse absurde et par une fascination réciproque, ils vont passer une semaine à tenter de s‘apprivoiser, au cœur des marais salants.
Roman / 2018 / 256 pages / 18,50€ / 13,5 x 20 cm / 978-2-36339-090-5
La presse en parle …
Augustin Trapenard, Boomerang (France Inter).
Olivier Bourdeaut nous offre une fantaisie polardeuse ou un polar fantaisiste.
François Busnel, La Grande Librairie (France 5).
Olivier Bourdeaut possède l’art de la mise en scène.
Sébastien Lapaque, Le Figaro.
On ne lâche pas ce western guérandais de l’imprévisible, cette passerelle de mots qui raillent, pétillent, arrachent des pesanteurs, et requinquent les ego à marée basse.
Sandrine Mariette, Elle.
Avec Pactum salis, Olivier Bourdeaut franchit brillamment l’obstacle toujours redoutable du deuxième roman. C’est la première bonne nouvelle de ce début d’année en librairie !
Bernard Lehut, RTL.
Un roman qui le fait entrer dans la cour des grands.
Journal de 13h, TF1.
Bonne nouvelle : si ce nouvel opus est tout aussi bourré de charme que son grand frère, En attendant Bojangles, il est radicalement différent.
Sophie Pujas, Le Point.
Olivier Bourdeaut affiche un certain attachement pour la cruauté tamisée.
Christine Ferniot, Lire.
Olivier Bourdeaut revient avec un nouveau roman dont l’écriture est encore plus affirmée, plus raffinée.
Valérie Trierweiler, Paris Match.
Après le triomphe de son premier roman, Olivier Bourdeaut utilise son expérience de paludier pour tricoter une fiction, encore plus réussie.
VSD.
Il y a du Olivier Bourdeaut dans les deux personnages qui traversent avec légèreté Pactum salis.
Philippe Douroux, Libération.
Autant l’intrigue à suspense que le cadre, tout est original dans cet affrontement brutal et insolite. Olivier Bourdeaut confirme qu’il est un écrivain et non un phénomène saisonnier.
Jean-Claude Raspiengeas, La Croix.
Olivier Bourdeaut sait mettre en scène des personnages plein d’humanité, avec le charme de cette écriture qui suscite tour à tour le sourire, le rire ou l’émotion vraie.
Jean-François Cadet, RFI.
Dans un style vif jusqu’à la cruauté, Olivier Bourdeaut pousse ses personnages dans leurs derniers retranchements. […] On ne peut s’empêcher de songer à l’inoubliable Singe en hiver d’Antoine Blondin.
Olivier Mony, Livres Hebdo.
Les dialogues de ce roman sont terriblement caustiques et offrent un décalage réjouissant entre le piquant de la réflexion et la trivialité des situations.
Anne Berthod, La Vie.
Les marais salants, la toile de fond idéale pour ce roman inattendu.
Le Grand Soir 3, France 3.
Olivier Bourdeaut signe un second roman plus classique, plus calme, rythmé par les marées et baigné des lumières des marais, dans lequel il installe un suspense latent, qui tient le lecteur en haleine jusqu’au bout.
Laurence Houot, Culturebox.
Un sens du dialogue, une dérision presque désespérée, des personnages attachants. Et, avec ça, une plume joliment surannée.
Isabelle Brunisset, Sud Ouest.
Une langue très travaillée et un humour caustique.
Florence Pitard, Ouest-France.
La cocasserie des situations rappellera aux amoureux de Blondin (et aux cinéphiles) les mémorables beuveries et joutes verbales d’un Singe en hiver.
Isabelle Bourgeois, Avantages.
On se délecte de ce récit enlevé aux dialogues brillants et inévitablement cruels.
Version Femina.
Ce roman offre un répit fort bienvenu dans la banalité du quotidien.
Anne-Frédérique Hébert-Dolbec, Le Devoir.
Une écriture fantaisiste et rafraîchissante.
Flavie Gauthier, Le Soir.
Pactum salis renvoie la beauté des paysages de Guérande, la quiétude des marais au coeur de l’été, en pleine saison de la délicate cueillette de la fleur de sel.
Chantal Livolant, Le Télégramme.
Une amitié qu’Olivier Bourdeaut narre avec délice, maniant l’humour des mots et des situations avec délicatesse et tendresse.
Blandine Hutin-Mercier, La Montagne.
Un roman maîtrisé, plus âpre voire rugueux, masculin et serré.
Laurence Bertels, La Libre Belgique.