Jusqu’au Prodige
À propos du livre
Thérèse est retenue prisonnière par le Chasseur. Elle est chargée de nourrir les animaux qu’il garde captifs avec un plaisir pervers. Un matin, la jeune fille trouve enfin le courage de s’enfuir, de quitter cette sinistre ferme où les hasards de l’Exode l’ont conduite. Elle court, court à perdre haleine à travers la forêt, et la nature se fait complice, apaise sa terreur et la protège de la noirceur des hommes. Sauvage et ardente, elle fuit à travers la montagne, portée pendant trois jours et trois nuits par le désir insensé de retrouver son frère, de tenir la promesse qu’elle lui a faite. Trois jours et trois nuits pour retrouver son passé et son avenir, dans un paysage où bêtes et hommes se cachent pour survivre ou pour tuer.
La poésie de l’écriture de Fanny Wallendorf, toute en émotion, illumine ce roman aux allures de conte.
Roman / 2023 / 104 pages / 14,50€ / 13,5 x 20 cm / 978-2-36339-176-6
Prix littéraires
- Prix François Sommer
- Sélection Prix Marie Claire
- Sélection Prix Fiction L’Express – Écrire la Nature
- Sélection Prix Anne Ténès
- Sélection Prix Livres à vous
La presse en parle …
Virginie François, Le Monde des livres.
Un conte aussi exaltant qu’oppressant.
Marianne Payot, L’Express.
Un beau conte noir, une prose poétique de haute tenue.
Muriel Steinmetz, L’Humanité.
Un roman fulgurant.
Yannick Haenel, Charlie Hebdo.
Il y a un souffle, une puissance poétique dans ce beau roman de Fanny Wallendorf, qui laisse sur le flanc. Une lecture en apnée.
Isabelle Bourgeois, Avantages.
Jusqu’au Prodige a la splendeur d’une fable, où tout se tient aux limites du fantastique, mais sans y céder jamais, laissant ainsi le champ libre à nos imaginations.
Thomas Jean, Marie Claire.
Fanny Wallendorf affirme, dès l’ouverture, l’autorité du conte et sa valeur métaphorique, voire spirituelle.
Marie Etienne, En attendant Nadeau.
Un livre poétique et efficace.
Thierry Bellefroid, Sous couverture (RTBF).
Spirituel, onirique, envoûtant et sensuel, en osmose avec son environnement, le récit fait corps avec la forêt, coeur vivant et rédempteur du récit.
Isabelle Falconnier, Le Matin Dimanche
Une écriture ample et tenue, sensuelle, traversée de fulgurances.
Anne Pitteloud, Le Courrier.
Le roman raconte la fuite éperdue de Thérèse à travers une nature sauvage mais magnifiée par la langue sublime de Fanny Wallendorf. Il prend la forme d’un long monologue où se mêlent la confusion et l’espoir (du Chasseur, des Allemands) et l’affirmation de soi. Les amateurs de romans oniriques et de plume poétique auraient tort de ne pas lire ce livre.
Le Midi Libre.
Un conte initiatique original et troublant, […] sublimé par l’écriture lumineuse de Fanny Wallendorf.
Valérie Susset, L’Est républicain.
Mariage réussi de ce que les Américains appellent le « nature writing » et du roman à arrière-plan historique, le récit s’avale en quelques heures et laisse derrière lui un goût de baies sauvages.
Jean-Philippe Blondel, L’Est éclair.
Jusqu’au Prodige est une réussite tant par l’originalité du sujet, la construction de l’histoire et la qualité de l’écriture, belle et sensible, presque onirique.
Philippe Chauveau, Web TV Culture.
Jusqu’au Prodige est un conte partagé entre l’horreur, dont l’homme est responsable, et la beauté de la nature. Court et intense, ce roman ne vous laissera pas reprendre votre souffle.
Blandine Garot, CNEWS.
Le roman de Fanny Wallendorf est semblable à un long poème, à un conte initiatique, à une profession de foi.
Christophe Henning, RCF.
Une échappée sylvestre, un roman haletant.
Céline Auclin, Qwertz (RTS).
L’écriture inspirée offre de belles descriptions de la nature et s’attache à suivre attentivement les émotions, pensées et états d’esprit bouleversés, ardents de Thérèse. […] L’atmosphère est prenante et le style d’un lyrisme sobre et convaincant.
Les Notes.
Les libraires en parlent …
Morgan, Librairie Coiffard, Nantes.
Jusqu’au Prodige éblouit de son écriture lumineuse et poétique. Une rencontre fulgurante et fatale entre « La nuit du chasseur » et le conte cruel. Éblouissant!
Librairie Compagnie, Paris.
Dans ce texte court, percutant mais d’une grande poésie, on suit la fuite de Thérèse à travers une nature à la fois menaçante et complice. Une très belle lecture, une évocation particulièrement sensible d’un épisode terrible de l’histoire du massif du Vercors.
Librairie Ouvrir l’oeil, Lyon.
Sous des allures de récit initiatique (et presque de conte fantastique), Fanny Wallendorf dépeint le monde sombre de la guerre des hommes et livre un portrait de femme lumineux.
Mathilde et Julie, Librairie Candide, Ixelles.
Que c’est beau ! Juste ! Fort ! Sensible ! Sans un mot de trop ni de moins, Fanny Wallendorf nous ensorcelle, nous tient en haleine et nous offre un magnifique portrait de femme un peu sauvage.
Coline, Librairie Le Bateau livre, Pénestin.
Un roman de toute beauté. Une écriture poignante et une forêt animale présente tel un personnage accompagnant Thérèse. Découvrez ce fabuleux roman.
Isabelle, Librairie Autres rivages, Buchy.
Un texte court qui m’a fait penser à Un balcon en forêt de Gracq pour la personnification des bois, le lyrisme, cette fuite pendant trois jours d’Ida, pourchassée par un chasseur, pendant la guerre, qui tient en haleine.
David, Cultura, Chambray.
Une course haletante pour la survie, portée par une plume originale et belle.
Romane, Librairie Longtemps, Paris.
Une pépite.
Librairie L’Oiseau Tempête, Saint-Nazaire.
L’écriture de Fanny Wallendorf restitue la course dans la forêt de Thérèse et les pensées qu’elle adresse à son frère qui a rejoint le Maquis. On y lit l’espoir, la tension, la crainte, le désir mais aussi les sons et les odeurs de la forêt, l’apaisement que celle-ci procure et la peur sombre qui englobe parfois les êtes qui la traversent. Jusqu’au Prodige se lit comme un conte hors du temps, récit traversé par une quête de liberté dans cette nature salvatrice, refuge des êtres et des pensées.
Gwendoline, Librairie Le silence de la mer, Vannes.
La fuite de Thérèse c’est la réppropriation du territoire qui l’entoure, la découverte de ce que la guerre fait et laisse derrière elle, la désillusion et l’espoir retrouvé face au Prodige. Fanny Wallendorf nous offre ici un texte court mais intense dans une langue vive et poétique. Un bel hommage à la nature, à l’épreuve de l’humanité.
Laurène, librairie L’Usage du Monde, Paris.
Un conte noir captivant, à l’écriture ciselée, qui offre de très belles pages sur la forêt. Par l’auteure de l’Appel, qu’on avait beaucoup aimé !
Aline, Librairie L’Escampette, Pau.
Fanny Wallendorf excelle dans cette narration faite de temps suspendu, d’images naturalistes, de cruauté et de douceur.
Hélène, La Chouette librairie, Lille.
En quelques mots, Fanny Wallendorf nous ensorcelle et nous offre un roman unique. Un véritable ovni littéraire. Magnifique !
Sophie, Nouvelle librairie Sétoise, Sète.
Une fuite en pleine forêt dans la tête d’une jeune femme pourchassée d’un côté et attendue de l’autre. Une course poursuite haletante avec le style sensitif de l’auteure qui restitue brillamment l’urgence et le suspense… Une roman aux allures de conte.
Librairie Massena, Nice.
Jusqu’au Prodige, c’est l’histoire d’une fuite dans les bois du Vercors à la fin de la deuxième guerre mondiale; une fille devient femme et cherche à échapper au Chasseur, devenant chimère au fil de la lecture pour trouver un frère fantasmé. Une histoire s’approchant du conte dont l’écriture vous ravira. Je suis totalement fan ! »
Richard, Librairie La Chouette qui lit, Marciac.
Une écriture tendue, en alerte permanente, sur un fil, un regard acéré sur la nature. Un roman qui emporte.
Librairie Le Vrai Lieu, Gradignan.
Magnifique hommage à la nature, un conte, une ode… L’écriture se déploie et devient haletante en suivant les pas de Thérèse. C’est beau, c’est simple, c’est magnifique. À lire d’une traite.
Librairie L’Esprit large, Guérande.
La langue y est forte, par son rythme, par sa sensualité mais aussi par sa brutalité. Dans les moments de grande tension, Fanny Wallendorf emprunte la voix de la poésie. […] Une autrice à découvrir et à suivre.
Librairie La Loupiote, Gap.
Ce conte teinté de poésie enchante par son écriture ciselée, et par la fureur de vivre qui s’en dégage !
Cécile, Librairie Le Passeur, Bordeaux.
Un roman éminemment troublant […], un monologue haletant qui vous fera vivre 72 heures dans une forêt à la fois hostile et consolatrice… Génial !
Aurore, Librairie La Fabrique, Bar-le-Duc.
Un bel hommage au pouvoir des mots, à la quête de liberté. Ce court roman donne des frissons, c’est de l’émotion pure et la puissance évocatrice de la langue de l’autrice emporte littéralement. Magnétique !
Annette, La Petite Librairie, Sommières.
Avec Thérèse on a peur, on veut se faire tout petit, se terrer et échapper à la violence des Hommes. Avec elle, on s’émerveille de cette forêt dans laquelle la vie continue quoiqu’il arrive. C’est court, certes, mais éprouvant, vif et l’on referme le livre le souffle court.
Blandine, Le Marque Page, Saint-Marcellin.
Nous faisons corps avec la nature et avec le personnage de Thérèse dans ce court texte qui nous laisse exsangues et essoufflés. Bref, puissant et intense.
Librairie Delamain, Paris.