Les silences
À propos du livre
Se taire, ne jamais se mêler des affaires des autres, voilà la règle qui prime dans ce village au cœur des montagnes, et permet à chacun de cultiver consciencieusement son lot de rancœurs et de préjugés. Quand Emil a disparu, personne n’a rien dit, bien sûr, les langues sont restées liées. Et quand l’orpheline, la jeune Ida, a été placée chez les Hauser, on se doutait bien que la vie serait difficile pour elle.
En butte à la haine de la fermière et aux regards libidineux de son mari, la jeune fille ne peut compter que sur son amitié clandestine avec Noah, un adolescent qui rêve d’ailleurs. Il réussit à la convaincre qu’elle aussi a droit à sa part de bonheur, mais il est trop tard. Ils ne parviendront, bien malgré eux, qu’à déclencher malheurs et drames, à faire remonter à la surface toute la boue de secrets et de non-dits du village.
Roman / 2023 / 19€ / 256 pages / 13,5 x 20 cm / 978-2-36339-1-797
Prix littéraires
- Prix Jean Monnet des Jeunes Européens
- Sélection Prix des libraires Payot
- Sélection Prix du roman Cezam
- Sélection Prix du public RTS
La presse en parle …
Laurent Ruquier, Club Première (Paris Première).
Le silence, la montagne, un ciel peint avec la grisaille de la mélancolie.
Nathalie Agogue, Libération.
Un « country noir » où le non-dit règne en maître.
Valérie Rodrigue, Marie France.
Un roman rural puissant
Julie Vasa, ELLE.
Les Silences se lit comme un roman noir sociologique dans lequel la résilience, la résistance au déterminisme social n’est pas un combat facile. […] Un récit bien rythmé, noir et lumineux.
Mohamed Berkani, France TV Info.
Un drame sur fond de montagnes et de rancoeurs qui tient autant du roman noir que du récit d’atmosphère.
Olivier Mony, Livres Hebdo.
Une sonorité franche et vigoureuse éclairée par une poésie sans fioriture, quasi naturaliste, presque terreuse.
Isabelle de Montvert-Chaussy, Sud Ouest.
Ambiance bourrue, taiseuse, aussi énigmatique que touchante.
Matthieu Marin, Ouest France.
Un polar rural saisissant.
Nicolas Julliard, RTS (Quartier livre).
On est soufflé par la justesse de ce livre. C’est vraiment brillant.
Lucile Poulain, RTBF (Sous couvertures).
On se laisse embarquer, séduits à la fois par l’originalité de la structure et par cette plongée dans les sombres années des campagnes helvétiques.
Anne Pitteloud, Le Courrier.
Grand roman à l’écriture dépouillée et intense, Les Silences touche à une sorte d’universalité que la sensibilité autant que la finesse de l’auteur permettent d’approcher.
Sébastien Colson, Le Dauphiné Libéré.
En plaçant son histoire au milieu du XXème siècle, Luca Brunoni nous plonge dans une réalité où les adolescents étaient amenés à grandir plus vite, pour le meilleur et pour le pire.
Jimmy Boursicot, Var Matin.
Prodigieuse plongée dans la tête d’un enfant et dans une petite communauté fermée sur elle-même. D’une profonde humanité.
Michel Paquot, L’Avenir.
Quand les rêves des uns deviennent les crimes des autres, le roman noir n’est pas loin…
Focus Vif.
Un roman engagé et bien écrit.
Stefano Palombari, L’Italie à Paris.
Un beau roman inspiré de l’histoire des enfants placés.
Albertine Bourget, Arcinfo.
Les libraires en parlent …
Valérie, Librairie Atout livre, Paris.
Quelle belle surprise ! On se laisse ici tomber dans un piège à l’écriture ciselée. Une jeune fille se retrouve prise dans les mailles d’un petit village suisse isolé, où les silences se multiplient et la vérité nous échappe jusqu’à une révélation finale. Un roman qu’on ne lâche pas !
Clotilde, Librairie Le Vrai Lieu, Gradignan.
Luca Brunoni s’empare, avec Les Silences, de la tradition du roman noir rural. Dans ce paysage âpre, l’auteur dévoile toutes les nuances du non-dit et de la violence sociale. Une fresque grandiose où les taiseux règnent en maître.
Léo et Stéphane, Librairie L’Atelier 9, Paris.
Dans un style clair et épuré, Luca Brunoni raconte Ida, Noah, la dureté et la pauvreté paysanne, la vie d’un village que la tentative de sauvetage des apparences tue à petit feu. C’est un roman sur les désastres que causent les silences, surtout chez des enfants…
Anouk et Maud, Librairie Les Parleuses, Nice.
Suisse, années 1960. Une commune rurale aux multiples secrets. Tout le monde sait. Personne ne sait. D’ailleurs parle-t-on de secrets ou de simples non-dits ? […] Une lecture mystérieuse portée par différents rythmes, une atmosphère propice à un bon moment.
Emilie, Librairie Mots et Images, Guingamp.
Un huis-clos bien mené où les pièces du puzzle finissent par s’imbriquer et dévoiler la vérité.
Marie, Librairie Anagramme, Sèvres.
Ne rien dire, ne pas se mêler des affaires des autres, dans ce silence, on observe, on épie mais on ne parle pas, on ne se confie pas; ainsi rancoeurs et préjugés vont bon train. […] Une jolie construction pour ce roman sur les silences, à la fois surprenante et classique pour nous raconter l’histoire de ces vies dans ces montagnes reculées. Un beau roman.
Nadine, Librairie L’Esprit large, Guérande.
Un très bon roman.
Brice, Librairie Agora, La Roche-sur-Yon.
Un roman rural noir au décor grandiose et à l’atmosphère pesante éclairé par un style d’une grande justesse qui vient sonder les tréfonds de l’âme humaine dans ce qu’elle a de plus bestiale.
Jérôme, Librairie Chroniques, Cachan.
Un roman puissant, un véritable uppercut !
Anne, Librairie Goulard, Aix-en-Provence.
Un roman riche de mystères, de non-dits, de jalousie.
Julie, Librairie Le Passeur, Bordeaux.
Luca Brunoni, dans un décor rural fruste et rustre, petit village reculé dans ces montagnes qui condensent et compactent les mots pour en faire des paquets de silences, trousse une histoire faite de non-dits, de secrets enfouis et de pureté minérale. […] Le village devient le théâtre d’une comédie humaine où surgissent les fantômes d’hier et les malheurs de demain, une comédie de sens qui laisse jouer les taiseux pour mieux extraire l’essence de l’âme humaine. Un très beau texte, surprenant parfois, classique également. Des personnages troublants et justes, un lieu et un temps habités, et du noir aussi. Du noir qui s’effleure, de la paume au psaume, de la terre à la bête, et de l’homme à la bête.
Fabien, Librairie Decitre, Grenoble.
Secrets, mensonges, suspense et non-dits se mêlent au récit.
Thaïs, Librairie Livres in Room, Saint-Pol-de-Léon.
Un roman sombre et rural. Une construction originale, une écriture qui dès les premières page nous happe et laisse deviner un drame.
Lydie, Librairie Le Coureau, Marennes.
La loi des non-dits, des rancoeurs, des jalousies, de ce silence qui règne en maître dans les montagnes dont l’échappée était impossible pour les gens de petit extraction. Très beau.
Librairie Nos années folles, Colombes.
Luca Brunoni manie l’intrigue avec grande finesse, égraine révélation après révélation. Il livre un roman insidieux, révèle la part terrible qui se terre dans chaque secret de famille; résolument sombre, c’est une lecture dont on ne sort pas indemne.
Charlotte, Librairie de Clermont, Clermont-Ferrand.
Il y a du Dickens dans ce roman. […] Dans un style concis, presque lapidaire, fait de phrases courtes et épurées, Luca Brunoni livre un roman noir rural où chacun des personnages a sa part d’ombre !
Fabienne, Librairie Le Bruit des Mots, La Flèche.
Luca Brunoni offre des portraits d’une grande justesse faits de multiples nuances.
Vincent, Librairie Dédicaces, Rueil-Malmaison.
Les Silences, c’est le récit d’un village où tout le monde se connaît. Pourtant vous constaterez rapidement que la loi du silence règne en maître. Un très beau roman rural.
Librairie Librophoros, Fribourg.