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Péquenots

Harry CREWS

À propos du livre

Traduction de Nicolas Richard et postface de Maxime Lachaud

Harry Crews écrit toujours à hauteur d’homme. Qu’il nous entraîne au bord du ring pour assister à un match de Mike Tyson en compagnie de Madonna et de Sean Penn, qu’il nous raconte quelques jours passés avec David Duke, le trop charismatique « Grand Sorcier » du Ku Klux Klan, ou avec un redoutable télévangéliste, il le fait toujours avec une humanité et une justesse incomparables. Même chose quand il se penche sur son enfance pauvre dans une ferme du comté de Bacon, Géorgie, qu’il évoque la noyade de son fils dans la piscine des voisins, ou ses tourments d’écrivain alcoolique, la pudeur affleure toujours. Il fait naître l’émotion, il nous touche et nous rappelle, s’il en était besoin, qu’il fut un des grands écrivains américains de sa génération.

Harry Crews avait établi le manuscrit de ce recueil quelques années avant sa mort. Resté dans un tiroir, il ne fut jamais publié. Byron Crews, le fils d’Harry, nous l’a confié. Nous en sommes fiers.

Chroniques / 2019 / 320 pages / 23€ / 14,5 x 22 cm / 978-2-36339-121-6

La presse en parle …

D’un bout à l’autre, Péquenots nous entraîne dans une série de trips sauvages et de rencontres rugueuses […]. Epoustouflant.  
Philippe Blanchet, Rolling Stone.

Un road trip aussi fou qu’hilarant à travers l’Amérique profonde et ses rencontres improbables. […] Quand le reportage écrit à la première personne rencontre le talent d’un conteur hors norme.
Frantz Hoëz, L’Obs.

C’est un joyeux road trip chez les prolos et les crétins du Deep South. […] Harry Crews excelle dans les descriptions sur le vif et l’humour grotesque.
Macha Séry, Le Monde.

Avec une écriture de romancier, Harry Crews se promène dans le monde du Sud et raconte l’Amérique sauvage et ses petites gens, d’une façon extraordinaire.
Christine Ferniot, Télérama.

Des reportages savoureux, par une plume acerbe et drolatique.
Bruno Corty, Le Figaro.

Brillant portraitiste du bizarre, plume acérée à l’humour étrange et aiguisé, Crews montre l’Amérique de l’autre côté du miroir.
Olivier Pène, Junkpage.

Ces chroniques feraient des courts-métrages formidables, d’une justesse, d’une économie, d’un tempo impeccables, avec un humour constant qui ne rit pas de ces personnages, mais avec eux et dans leur langue, sans la parodier, ce qui serait lui faire injure. […] Harry Crews est un portraitiste hors pair, qui a un talent fou pour écouter et nous dire que toute vie est importante, qu’elle est souvent un combat, et parfois une fête à laquelle il faut s’inviter.
Sophie Creuz, RTBF.

Péquenots est un chant d’amour tissé à la gloire du peuple d’en bas: parias, rednecks et autres hillbillies. Issus de Playboy ou d’Esquire, les textes qui le composent forment une mosaïque lézardée, glorieusement inassortie; ils rayonnant d’humanité.
Fabrice Colin, Le Nouveau Magazine Littéraire.

Péquenots est l’occasion d’une plongée à peine exagérée dans la psyché de la vraie Amérique, celle des gens « de rien », des âmes souffrantes, des abandonnés de ce que l’on appelait encore il y a peu « le rêve américain ».
Maxence Grugier, New Noise.

Le style est merveilleux, l’humour décapant et les formules foudroyantes. 
Nicolas Ungemuth, Le Figaro Magazine.

Avec ces chroniques, Harry Crews brosse le portrait d’une Amérique des laissés pour compte, des rebuts de l’american way of life.
Eric Bonnargent, Le Matricule des Anges.

Péquenots est un modèle d’écriture, de droiture et de profondeur. 
Marc Bertin, Sud Ouest Dimanche.

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