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Produits d’entretiens

Raphaël SORIN

À propos du livre

Trente ans d’édition et de journalisme littéraire, cela représente quelques rencontres, quelques interviews d’écrivains, quelques portraits complaisants ou assassins. En trente ans Raphaël Sorin a aussi appris combien il fallait être vigilant avec cette postérité à la mémoire si courte. “Pour mémoire” il a choisi de publier ses entretiens et ses portraits de quelques auteurs qu’il faudrait penser à ne pas oublier: Pierre Bettencourt, Louis Scutenaire, Henri Calet, Jean Forton, Jean-Pierre Enard, Norge, quelques membres du Grand Jeu (Ribemont-Dessaignes, Sima, Minet, Harfaux), Bounoure, etc.
En nous parlant de ses auteurs, de sa bibliothèque, Raphaël Sorin nous parle aussi de lui, de son enfance, de son parcours, de ses amitiés; il le fait avec autant d’humour que de sensibilité.

Chroniques / 2005 / 16€, épuisé, il existe un tirage de tête : 20 exemplaires sur papier Paic-citron, enrichis d’une photographie originale de Maya Sachweh, représentant l’auteur en compagnie de William Burroughs, à 70€ (nous contacter directement) / 184 pages / 12×17 cm / 978-2-912667-30-4

La presse en parle …

De ces rencontres d’exception avec des alliés substantiels, un autre que lui eût tiré, outre l’occasion de s’avantager, un gros volume de portraits. Mais l’homme est avare de ses souvenirs et l’écrivain, très économe. Une mémoire d’éléphant, une prose de héron. A Champ libre, chez Lebovici, il a appris à ne pas se livrer, à entretenir, en stratège, l’art de la dissimulation. Il faut donc lire entre les lignes de ses ouvrages maigres et rares pour découvrir, derrière l’éditeur roublard de Houellebecq et l’agent d’entretiens, l’histoire de cet éternel apatride que la littérature a aidé à vivre. […]
Pour saluer les oubliés et honorer les répudiés, on peut toujours compter sur Raphaël Sorin.
Jérôme Garcin, Le Nouvel Observateur.

Un volume savoureux.
La Croix.

Un petit livre léger, frais, impertinent, très littéraire et jamais ennuyeux ni pontifiant.
Philippe Lacoche, Le Figaro littéraire.

Des rencontres qui composent l’autoportrait en pointillé d’un bec fin de la littérature, d’un bibliomane tendance «situ».
François Dufay, Le Point.