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À Hauteur d’homme

Marc BERNARD

À propos du livre

Ce livre est une histoire d’amitiés. Marc Bernard, à travers la dizaine de portraits que rassemble ce volume, nous parle de ses amis écrivains et des œuvres qu’il admire. On voit ainsi défiler Jean Paulhan, Pascal Pia, Henri Calet, Henri Barbusse, Léon-Paul Fargue, Jacques Chardonne ou encore Eugène Dabit à propos duquel Marc Bernard écrit :
«Il est des gens qu’on voit d’en bas, ou d’en haut; on a l’impression qu’il faudra crier pour qu’ils vous entendent, ou parler à mi-voix, bref, qu’on ne pourra pas être en face d’eux tout à fait naturel. Avec Eugène Dabit, rien de pareil ; il était juste à hauteur d’homme, à votre hauteur.»
Et c’est bien aussi à hauteur d’homme que se place Marc Bernard dans ces portraits.

Le livre est illustré de photos des auteurs dont Bernard dresse le portrait.

Portrait / 2007 / 15€, il existe un tirage de tête : 20 exemplaires sur papier jonquille à 40€ (contacter directement l’éditeur) / 144 pages / 12×17 cm / 978-2-912667-41-0

La presse en parle …

Des portraits faits sur le ton de la confidence, comme on parlerait à un ami.
Alexandre Fillon, Livres Hebdo.

Frappants de précision, ces portraits sont tous cadrés à «hauteur d’homme», telle une image de Doisneau ou de Cartier-Bresson.
Libération.

Cette dizaine de portraits de ses amis, croqués sur le vif, permet de (re)découvrir la générosité de celui dont on recherchait la compagnie.
Bernard Morlino, Le Figaro littéraire.

Ces textes sur Dabit, Barbusse, Calet, Paulhan, Gide ou Fargue, vrais exercices d’amitié ou d’applaudissements déférents, sont remarquables.
Bernard Quiriny, Chronic’art.

Dans ces portraits à fleur de peau, parfois de rage, Marc Bernard fait œuvre de reconnaissance, s’enthousiasme pour des livres, retrace toute une époque, se moque, s’attendrit. […] Il n’y a que du plaisir à lire ces portraits, tous brossés avec cœur et humour.
Martine Laval, Télérama