La reine du Technicolor
À propos du livre
Paris 1951. L’actrice Lola Cortez, la reine du Technicolor, est retrouvée morte dans sa baignoire. Accident, meurtre, suicide ? Pierre Vernet, détective privé, mène l’enquête.
Jean-Pierre Enard profite des périples de son héros pour brosser un portrait de cette époque, où un détective, pour ressembler à Bogart, troque son verre de rouge contre un whisky, alors que son fils préférerait, lui, troquer ses culottes de golf contre des pantalons longs, tandis que sa femme commande un Dubo-dubon-dubonnet.
Il prend un plaisir non dissimulé à faire revivre ces années 50, celles de son enfance, en mêlant avec habileté les personnages réels et fictifs.
Salut au cinéma français de l’après-guerre, La reine du Technicolor est un livre en noir et blanc.
Roman / 2008 / 15,50€ (épuisé) / 176 pages / 12×17 cm / 978-2-912667-49-6
La presse en parle …
Alexandre Fillon, Livres Hebdo.
Plein d’humour, écrit de manière vivante, ce beau roman fait ressurgir toute une époque.
Bernard Morlino, Le Figaro.
La nostalgie qui se dégage de ce livre […] est d’autant plus vive que l’auteur s’applique à la contenir. Mais elle déborde.
A. Dufraisse , Le Matricule des anges.
Drôle, enlevé, ce livre est à déguster comme un film de l’âge d’or du cinéma.
Raphaëlle Leyris, Paris-Match.
Comme si l’univers de Modiano se mariait à celui de Léo Malet.
Jean-Claude Lamy, Le Midi-libre.
Drôle, enlevé, ce livre est à déguster comme un film de l’âge d’or du cinéma.
Raphaëlle Leyris, Paris-Match.
Enard se méfie de la nostalgie et détourne le mélo dans un joyeux tourbillon narratif. Sa Reine du Technicolor est tout simplement un bijou, un remède à la lassitude, un de ces romans que l’on lit tout sourire et qui donne des désirs de chemins oubliés.
Martine Laval, Télérama.
Cette Reine du Technicolor est un exercice de style, mieux, une leçon d’élégance.
Olivier Mony , Le Figaro Magazine.