Le chien à sa mémère
À propos du livre
André Baillon est quasi inconnu, franchement oublié. Ses livres semblent voués à l’échec, maudits presque. Et pourtant…
Pourtant les curieux qui oseront s’y aventurer seront généreusement récompensés et jamais n’oublieront la bouleversante humanité de ses personnages.
Pourtant, sous une trompeuse désinvolture, le verbe est tranchant, le style est vif. Baillon étonne par sa modernité et son goût de l’absurde.
Pourtant ses nouvelles sont des merveilles de tendresse et d’humour à l’efficacité garantie. Mine de rien, l’air de ne pas y toucher, il vise juste, il vise au cœur.
Le chien-chien à sa mémère, ma Nounouche, le chat Poulet, Nelly Bottine, vous n’êtes pas près de les oublier…
Ces douze nouvelles, regroupées sous le titre «Le chienchien à sa mémère», sont tout à fait représentatives de l’art de Baillon : un mélange d’acuité psychologique, de trouvailles stylistiques et d’humour.
Nouvelles / 2003 / 14,5€/ 144 pages / 12×17 cm / 978-2-36339-028-8
La presse en parle …
Des saynètes drôlatiques, comme tranfigurées par le regard « en biais » de Baillon.
Olivier Mony, Livres Hebdo.
André Baillon est un humoriste à la Buster Keaton: son sourire se cache sous des phrases d’une efficacité confondante.
Pierre Maury, Le Soir.