Les grands chevaux
À propos du livre
Le même rêve d’une harde de chevaux lancés au galop hante deux hommes qui ne se connaissent pas. Pour Kerr, pompiste sans histoires, il annonce la montée de l’angoisse ; pour Niels, cracheur de feu en quête d’absolu, la venue de l’inspiration.
Dans une ville déchirée depuis des décennies, au climat social délétère, tous deux tentent de trouver un équilibre malgré un passé tragique et marqué par la honte. Alors que Kerr va connaître l’apaisement grâce à l’amour, Niels, brutalement privé de sa pratique du feu à cause d’ennuis de santé, va devoir affronter ses démons.
Fanny Wallendorf signe un roman à la fois flamboyant et crépusculaire, où la passion et la nature sont les seuls remèdes à la peur de vivre dans un monde indéchiffrable.
Roman / 2021 / 240 pages / 18,50€ / 13,5 x 20 cm / 978-2-36339-143-8
Prix littéraires
- Sélection Prix Alain Spiess
- Sélection Prix Lire en Poche de littérature française
La presse en parle …
Philippe Soussan, France Info.
Les libraires en parlent …
Camille, La Parenthèse, Annonay.
Le feu qui dévore, qui éblouit autant qu’il blesse. Les chevaux qui surgissent, les tremblements, la résurgence d’une nuit dramatique. On retrouve le talent et la plume de Fanny Wallendorf dans un roman plein d’humanité.
Hélène, La Chouette librairie, Lille.
Fanny Wallendorf a un talent incroyable pour nous installer dans les atmosphères oniriques qu’elle veut nous donner à voir, ou plutôt à sentir.
Librairie Buissonnière, Samatan.
Derrière une ville déchirée et des personnages tétanisés par la cruauté de leurs aînés, se tissent des histoires de rédemption par l’amour et le pardon mais aussi de peurs si solidement ancrées en nous qu’elles nous écrasent.[…]Lisez-le !
Emilie, Librairie Pantagruel, Marseille.
Une écriture sensible et onirique pour un récit construit en miroir : deux hommes hantés par le même rêve vont connaître par ce biais angoisse et amour, ou inspiration. Une métaphore de nos peurs face à une société à la dérive, pleine de fougue.
Delphine, Espace culturel Leclerc, Trélissac.
Quelle écriture, quelle histoire, tendue, dans une ambiance sombre, la nuit est cauchemardesque, baroque. Fanny Wallendorf est vraiment une auteure à part, à l’écriture bien affirmée déjà en deux ouvrages parus. Quelle belle façon de dépeindre une certaine jeunesse !
David, Cultura, Chambray-lès-Tours