Les poteaux étaient carrés
À propos du livre
12 mai 1976. Ce soir les Verts de Saint-Étienne rencontrent le Bayern Munich à Glasgow en finale de la coupe d’Europe.
Nicolas est devant la télé, comme toute sa famille, comme ses copains du collège, comme la France entière. Mais pour lui c’est bien plus qu’un match. Cette équipe de Saint-Étienne est devenue sa vraie famille. Depuis le départ de sa mère, depuis qu’il est le seul fils de divorcés de sa classe, depuis que son père vit avec cette trop séduisante Virginie, il n’en a plus d’autre. Alors il retient son souffle quand les joueurs entrent sur le terrain. C’est sûr, ce soir, ils vont gagner.
« Maman est partie et papa l’a remplacée par Virginie, un peu plus tard. Moi je l’ai remplacée le jour même par une équipe de football. »
Roman / 2018 / 15€ / 144 pages / 13,5 x 20 cm / 978-2-36339-097-4
Prix littéraires
- Prix Révélation littérature France Bleu
- Prix du Premier roman des lecteurs de la librairie l’Esprit large
- Prix Lire en Pays d’Ancenis
- Sélection Prix Stanislas
- Sélection Prix Sport et Littérature
- Sélection Prix Renault – Antoine Blondin
- Sélection Prix des lecteurs Notre Temps
- Sélection Coup de coeur des Lycéens
- Sélection Prix des lecteurs – Escale du Livre
- Sélection Prix des lecteurs de la librairie Nouvelle
- Sélection L’autre Prix
La presse en parle …
Olivier Mony, Livres Hebdo.
Les poteaux étaient carrés montrent l’art du contre-pied d’un débutant déjà en pleine possession de ses moyens.
Alexandre Fillon, Lire.
Les poteaux étaient carrés restituent avec subtilité l’ambiance douce-amère des années 70, ces années vides que l’on croyait pleines.
Sébastien Lapaque, Le Figaro littéraire.
Un livre très touchant, très juste, très évident.
Coup de coeur de Michel Crépu, Le Masque et la Plume (France Inter).
Ce court roman est une petite merveille.
Philippe Blanchet, Rolling Stone.
Un joli moment qui prouve que les épopées sportives font d’excellents livres.
Sébastien Iulianella, Radio Nostalgie.
La magnifique histoire d’un adolescent que le football a sauvé.
Joy Raffin, L’Oeil du Tigre (France Inter).
On a l’impression qu’on va nous parler de foot, mais c’est surtout un livre sur la crise d’adolescence.
Michel Dufranne, Livrés à domicile (RTBF).
La construction de ce court et vif premier roman, remarquable et maîtrisé, suit la trame et le rythme de ce match mythique, parvenant à instaurer un suspens alors même que nous connaissons le résultat de ce match devenu mythique.
Béatrice Courau, ActuaLitté.
Un premier roman magnifique, une révélation.
Olivier Roché et Alexandre Vau, Le débrief (France Bleu Saint-Etienne Loire)
Le parallélisme entre chaque action de jeu, entre les poteaux carrés et les vies mal agencées, est tout à la fois malin et émouvant. […] C’est écrit avec talent, sans conteste, autant que celui de Kylian Mbappé avec ses pieds.
Charlotte Saric, Mag’in France.
Ce premier roman tout en finesse et en douceur est à la fois drôlatique et émouvant, mais aussi très intense dans le récit de la façon dont cet adolescent se construit. C’est aussi un livre tendre sur la relation père-fils. Ce livre n’est pas un livre sur le football, mais c’est un livre qui montre la place que ce sport peut avoir dans la vie des gens.
Ernest Mag.
Ce roman très bien écrit décrit le passage de l’enfance à l’âge adulte.
Laurence Hilaire, Culture L (RCF).
Un premier roman saisissant où le narrateur balance entre humour et gravité, tendresse et colère, pour sceller, dans un vertigineux parallèle, le sort d’un match et celui de sa vie.
Pierre-Olivier Boiton, Pèlerin.
Entre exaltation sportive et désenchantement filial, Les poteaux étaient carrés brosse le transfert affectif d’un ado sur une équipe de légende – les Verts. Un roman sans concession. Subtil et mûri à coeur. […] Une lecture savoureuse à partager bien au-delà des vestiaires !
Caroline Kowalski, L’Echo magazine.
Du côté des premiers romans, plus nombreux que lors des cuvées précédentes (94 titres), signalons la prouesse de Laurent Seyer qui réussit dans Les poteaux étaient carrés à faire tenir un drame face à l’écran de télévision durant les 90 minutes de la finale 1976 de la coupe d’Europe (de football, quelle question !)
Pierre Assouline, L’Orient littéraire.
Les libraires en parlent …
Librairie Coiffard, Nantes.
Un roman très original où la vie d’un adolescent dont les parents divorcent est mise en parallèle avec un match de football qui a marqué l’histoire. Un projet audacieux servi par une belle écriture.
Librairie FNAC, Bordeaux.
D’une tendresse fébrile servie par une écriture aigre-douce, un très beau roman sur la fièvre footballistique et sur les turpitudes de l’adolescence.
Librairie Decitre, Grenoble.
Un premier roman touchant et nostalgique qui vous fera vibrer bien plus que 90 minutes.
Librairie Millepages, Vincennes.
Ce roman ravira les passionnés de ballon rond mais pas seulement ! C’est un texte drôle et touchant que nous offre Laurent Seyer.
Librairie Payot Rive Gauche, Genève.
Un texte sensible, tout en finesse et d’une grande tendresse.
Librairie Tome 7, Paris.
Un roman prometteur au style incisif. La narration est portée par la tendresse de l’enfance et la nostalgie des années 1970.
Librairie Guillaume, Caen.
On sourit, on rentre dans le match, on s’émeut. Un premier roman réussi par un auteur passionné de football.
Librairie Bookstore, Biarritz.
Laurent Seyer réussit à se plonger dans la mélancolie adolescente de son personnage pour aboutir à un roman d’une émotion rare.
Librairie Le Méandre, Meudon.
Une petite pépite ! Ça pique, ça remue. Tout en justesse. Cette histoire ne ressemble à aucune autre. […] Habile, poignante, l’écriture vous emporte.
Maison de la presse, Mérignac.
Un superbe premier roman, sensible, joliment écrit. A mettre entre toutes les mains, même celles du « footeux » qui jamais ne penserait lire un roman. Allez les verts !
Librairie L’Eclectique, Saint-Maur-des-Fossés.
Un roman étonnant qui frise avec la madeleine de Proust ! […] Plus qu’une simple évocation d’un match de foot, c’est surtout une magnifique histoire sur l’amour de la famille et un voyage merveilleux vers l’enfance ! Délicieux !
Librairie La Procure Largeron, Reims.
Joli et émouvant portrait d’un adolescent sensible et toujours dans l’absolu, bouleversé sans avoir pu en parler par la séparation de ses parents et adulant une équipe de football devenue mythe.
Librairie Vaux Livres, Vaux-le-Pénil.
Un premier roman réussi. Même si on n’est pas fan de football, nous plongeons directement vers la lecture de ce roman tant il est bouleversant, audacieux par son sujet.
Librairie Les Petits Mots, Meudon.
De bout en bout, de l’engagement au coup de sifflet final, ce texte est une réussite. le propos se veut intimiste, puriste même à certains égards et pourtant il nous touche d’une manière ample et totale. La partie de football qui servira de fil rouge au récit est habilement utilisée pour faire entendre toute la douleur et la frustration d’un jeune garçon ébranlé par la séparation de ses parents.
Librairie Metropolis, Bayeux.
Je me suis mise dans la peau de Nicolas, ce jeune adolescent tellement touchant. Sa détresse a été la mienne, et n’étant pourtant pas fan de foot, j’ai tout de même intégré l’émotion de l’époque.
Librairie La Rose des vents, Dreux.
Dans ce premier roman magnifiquement empreint de nostalgie, Laurent Seyer réussit le une-deux poétique, enchaîne avec un passement de jambes émotionnel, se remet face au but d’un dribble en double contact. Le gardien est pris à contre-pied, comme le lecteur, le but est marqué. On referme le livre les yeux mouillés.
Librairie St-Christophe, Lesneven.