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Les quais de Chicago

Stuart DYBEK

À propos du livre

traduction de l'américain par Philippe Biget

Le Chicago de Stuart Dybek n’est pas celui des majestueux buildings qui bordent le Lac Michigan, non, c’est plutôt le Chicago populaire de son enfance, celui des ­quartiers polonais ou mexicains, celui où la réalité cède parfois le pas au rêve.
Une ville où une fille à demi nue, prisonnière de la glace, légende urbaine pour certains, obscur fantasme pour d’autres, devient l’objet d’une quête désespérée. Où quelques accords d’une polonaise de Chopin s’échappant d’une bouche d’aération évoquent le souvenir d’un lointain pays et d’un amour oublié.
D’un quartier, d’une simple rue, Stuart Dybek crée un univers, c’est sans doute pour ça qu’il est l’un des plus grands nouvellistes américains d’aujourd’hui.

Peu importe où vous êtes né, après avoir lu ce livre, vous aurez grandi sur les quais de Chicago.

Nouvelles / 2007 / 19€ / 240 pages / 13,5×20 cm / 978-2-36339-049-3

La presse en parle …

Dans la boue de Chicago, de l’or.
Astrid de Larminat, Le Figaro Littéraire.

Un petit trésor caché et plein de charme de la littérature US. […] Une atmosphère crépusculaire, baignée d’onirisme, qui est celle des souvenirs.
Raphaëlle Leyris, Les Inrockuptibles.

Les quatorze nouvelles du recueil sont autant de brillantes démonstrations de la puissance de cet indicibles sentiment poétique qu’offre la rêverie issue du souvenir.
Yves Le Gall, Le Matricule des Anges.

Un grand écrivain capable de faire d’un quartier, d’une rue, tout un univers.
Serge Airoldi, Sud Ouest.