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Ma nuit entre tes cils

Grégory CINGAL

À propos du livre

Elle avait des taches de rousseurs et les cheveux longs. Elle aimait le tango et Thomas Bernhard, fouiner chez les brocanteurs et Polnareff. Elle était prof de philo et vivait à Paris.
Elle était amoureuse, parfois, et celui qui l’aimait ne veut rien oublier. Alors il note, tout : un geste, une attitude, une parole. Il se souvient de leur première rencontre et de son dernier SMS, des livres qui la dévoraient et de sa mélancolie, de ces bottes hors de prix qu’elle n’a jamais portées, de son goût déraisonnable pour le Scrabble et le café froid, de ses copies qu’elle ne corrigeait jamais ailleurs que dans les bars, de son incapacité à se laisser bercer par le murmure de la vie comme elle vient…

« Le baume du temps qui cicatrise les blessures, je ne connais rien de plus répugnant. »

Roman / 2016 / 96 pages / 12€ / 12 x 17 cm / 978-2-36339-066-0

La presse en parle …

À Grégory Cingal, les souvenirs de tennis permettent de tout dire: les ferveurs de l’enfance, les grands rêves de l’adolescence, la passion des livres, les bras des femmes, le monde comme il va et surtout comme il ne va pas.
Sébastien Lapaque, Le Figaro.

C’est bien une autobiographie restreinte aux dimensions d’un court de tennis que nous propose Grégory Cingal.
Éric Chevillard, Le Monde.

Grégory Cingal est fou de tennis et lui déclare son amour dans cette «Recherche du temps perdu» où les madeleines ont été remplacées par le duvet jaune des balles.
Christophe Ono-dit-Biot, Le Point.

Les anecdotes sont intéressantes, parfois cocasses, et l’adulte n’est pas dénué de lucidité, voire de cynisme, pour examiner le jeune joueur qu’il était.
Libération.

Le Revers de mes rêves est un livre rare, dans lequel des joueurs de tennis oubliés jouent le rôle que, pour Marcel Proust, jouait la madeleine de sa grand-tante.
Christophe Mercier, Les Lettres françaises.

Une déclaration d’amour pour la balle jaune et ses adeptes, à lire sans modération.
Tennis magazine.

L’humour du merveilleux écrivain qu’est Grégory Cingal se rattache à une certaine veine à l’anglo-saxonne.
Frédéric Verger, La Revue des deux mondes.

Entre ses rêves d’enfant et l’admiration qu’il porte à Federer, Grégory Cingal propose un petit livre épatant.
François Ruffieux, 24 heures.

Un vagabondage inspiré par la passion du tennis.
En jeu, une autre idée du sport.