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Que les étoiles contemplent mes larmes

Mary SHELLEY

À propos du livre

Traduit et présenté par Constance Lacroix

Italie, été 1822. Le poète Percy Shelley traverse le golfe de Livourne à bord de l’Ariel, un petit voilier qu’il vient d’acheter. La mer est agitée, fait chavirer l’embarcation et emporte le jeune écrivain. Sa veuve, Mary Shelley, auteur du mystérieux Frankenstein, n’a pas encore vingt-cinq ans.
La douleur soudaine, brutale, anéantit la jeune femme qui entame alors l’écriture d’un journal, son Journal d’affliction, qu’elle tiendra jusqu’en 1844. C’est une œuvre bouleversante, élégiaque et exaltée, écrite par une femme brisée qui consigne au jour le jour les souvenirs de son amour, sa souffrance et sa solitude. Ces pages, mi-journal de deuil mi-lettres d’amour, sont parmi les plus belles de la littérature romantique.

Inédit

Journal / 2017 / 19,50€ / 264 pages / 13,5 x 20 cm / 978-2-36339-089-9

La presse en parle …

Un passionnant journal qui permet de cerner enfin sa personnalité peu ordinaire.
François Rivière, Le Figaro.

On est ébloui par sa prose sublime qui se lit comme un roman des soeurs Brontë.
Kerenn Elkaïm, Livres Hebdo.

Un immense cri de douleur qui arrache des larmes.
Sandra Basch, Elle.

Sur deux décennies, le journal d’affliction de Mary Shelley illustre son destin d’héroïne romantique.
Elisabeth Miso, Florilettres.

Ce journal permet de mieux comprendre la vie d’une femme libre dans l’Angleterre du XIXème siècle, corsetée et inégalitaire.
Raphaël Brun, Monaco Hebdo.

Au-delà de la valeur biographique et documentaire, ces récits consignés pendant vingt ans, dans une langue splendide, se révèlent tout simplement poignants.
Baptiste Liger, Lire.

Sous la plume d’une auteure romantique comme Mary Shelley, la souffrance prend une ample dimension lyrique.
Eléonore Sulser, Le Temps.

Riche en anecdotes, ce Journal d’affliction dépeint une femme d’une modernité exceptionnelle.
Cécile Lecoultre, La Tribune de Genève.

Un des documents les plus émouvants de l’époque romantique.
Jacques Franck, La Libre Belgique.

Un journal qui nous fait mesurer ce qu’il en coûtait d’être une femme libre dans la société encore inégalitaire, et au fond, misogyne.
Nelly Kaprièlian, Les Inrocks.